"Si les Russes arrêtent les combats, il n'y a plus de guerre. Si les Ukrainiens arrêtaient de se battre, il n'y aurait plus d'Ukraine" (Dorota Dakowska, politologue).
Et s’il n’y avait plus d’Ukraine, c’est l’Europe qui serait alors menacée, tout autant que la paix construite depuis la Deuxième Guerre Mondiale.
Deux ans après le début du conflit, son évolution est toujours aussi incertaine. Le contexte international l’est devenu plus encore, avec les scrutins à venir en Europe et aux États-Unis, la constance aggressive de Poutine, la recomposition géopolitique de la planète, et une Ukraine combative, mais qui s’épuise aussi.
En Gironde, nous n’oublions pas, et nous réaffirmons notre soutien aux Ukrainiennes et Ukrainiens dans leur combat !
Et cet autre combat, au Proche-Orient, nous rappelle encore et toujours que les guerres sont toujours menées par les puissants, qu’ils soient autoritaires, terroristes ou dictateurs. Mais elles font à chaque fois payer le prix fort aux populations civiles qui ne demandent qu’à vivre en paix.